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Il était une fois, dans un dojo bercé par l'écho des chutes et des salutations, un maître nommé Nico. Il n’était pas un simple professeur de judo, mais un gardien des traditions ancestrales transmises par le grand Jigoro Kano lui-même.
Depuis des générations, huit valeurs sacrées guidaient les pas des judokas : des piliers moraux gravés dans le cœur de ceux qui empruntent la voie du judo.
Modestie - Courage - Amitié - Contrôle de soi - Politesse - Honneur - Respect - Sincérité
Ces principes, transmis de maître en élève, façonnaient l’esprit et le corps, au-delà du tatami.
Mais une rumeur circule, portée par le vent qui caresse les murs du dojo de Saint-Vit. Une légende, ancienne et mystérieuse, murmure l’apparition d’une neuvième valeur. Une valeur secrète, née non des écrits, mais du souffle vivant de l’expérience.
On dit que si vous tendez l’oreille lors d’un cours, vous l’entendrez, glissée entre deux techniques, chantée d’un ton doux et sincère par notre maître Nico lui-même. Car cette valeur ne se lit pas, elle se ressent. Elle est là, invisible mais présente, dans chaque regard bienveillant, chaque encouragement, chaque chute relevée.
Et ainsi, la légende continue, portée par ceux qui ont foi en l’esprit du judo, et en la voix de celui qui l’incarne.